Qu’on ne s’y trompe pas, la crise actuelle n’est pas pour l’essentiel une crise industrielle. Les retards, les dépassements, les ajustements... sont le lot commun des nouveaux programmes dans l’aéronautique. Du reste Boeing en connaît en ce moment avec son « Dreamliner » : l’usage massif de composites dans la structure et de dispositifs électroniques innovants créent des problèmes de coût et de délais. Cette crise n’illustre pas davantage la (...)
