Le krach de l’Internet et d’Enron (2000-2002) n’a eu qu’un précédent par son impact sur les marchés financiers, la crise de 29, et pourtant il n’a pas les effets dévastateurs en termes d’activité et d’emploi de cette même crise de 29. Alors que certains observateurs croyaient pouvoir annoncer une contagion à l’économie réelle et des faillites spectaculaires d’institutions financières majeures, il en a rien été la croissance est restée soutenue et les banques universelles ont affiché des (…)